Sermon Tone Analysis

Overall tone of the sermon

This automated analysis scores the text on the likely presence of emotional, language, and social tones. There are no right or wrong scores; this is just an indication of tones readers or listeners may pick up from the text.
A score of 0.5 or higher indicates the tone is likely present.
Emotion Tone
Anger
0.08UNLIKELY
Disgust
0.1UNLIKELY
Fear
0.13UNLIKELY
Joy
0.22UNLIKELY
Sadness
0.16UNLIKELY
Language Tone
Analytical
0.51LIKELY
Confident
0UNLIKELY
Tentative
0UNLIKELY
Social Tone
Openness
0.16UNLIKELY
Conscientiousness
0.14UNLIKELY
Extraversion
0.51LIKELY
Agreeableness
0.6LIKELY
Emotional Range
0.08UNLIKELY

Tone of specific sentences

Tones
Emotion
Anger
Disgust
Fear
Joy
Sadness
Language
Analytical
Confident
Tentative
Social Tendencies
Openness
Conscientiousness
Extraversion
Agreeableness
Emotional Range
Anger
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Je m’appelle Jason, je suis un des pasteurs de cette église.
Si vous êtes là pour la première fois aujourd’hui, j’aimerais bien vous souhaiter le bienvenu, et prendre un instant pour expliquer pourquoi on fait ce qu’on fait ici.
Pas seulement des événements comme celui-ci, mais tout ce qu’on fait.
Dans la Bible, on voit ce verset très célèbre, dans Jean 3.16 :
Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son fils unique, afin que quiconque CROIT en lui ne périsse pas, mais ait la vie éternelle.
AFIN QUE QUICONQUE CROIT EN LUI...
C’est là où se trouve la difficulté pour beaucoup de gens, parce que cette histoire que nous chantons depuis une heure, cette histoire de la naissance de Jésus, nous paraît si incroyable.
Je le sais bien—quand je parle comme je parle chaque dimanche, je me dis moi-même : Tu entends ce que tu dis en ce moment ?
Ça a l’air absolument FOU.
Mais peu importe combien ça nous paraît incroyable, nous ne pouvons pas simplement le mettre de côté ; nous devons tous décider quoi faire avec cette histoire.
Je présume peut-être trop, mais je pense que la plupart des gens seraient d’accord pour dire que ce qu’on croit sur une chose ne change pas du tout la chose elle-même.
Il y a des gens (et je ne mentionnerai pas de nom ici) qui ne croient pas que les êtres humains peuvent avoir un impact négatif sur l’environnement.
Mais leur refus d’y croire ne va pas arrêter le réchauffement climatique pour autant.
Je pourrais montrer du doigt n’importe quelle personne ici, et vraiment croire que je sais tout sur vous.
Très probablement, la plupart de mes convictions sur vous seraient totalement erronnées : ma conviction sur qui vous êtes ne changerait pas du tout la nature fondamentale de qui vous êtes—vous resterez qui vous êtes peu importe ce que je crois à votre propos.
Si quelque chose est vrai, c’est vrai qu’on le croie ou non.
Alors le plus haut but social, éthique et moral de tous les êtres humains devraient être d’affirmer ce qui est vrai, et de vivre selon cette vérité-là.
Si le réchauffement climatique est vrai, alors c’est une nécessité morale, éthique et sociale d’affirmer que c’est vrai, et de vivre selon cette vérité.
De la même manière, si cette histoire, et les promesses qui s’y attachent, sont vraies, alors c’est un impératif moral d’affirmer cela, et de vivre en fonction de cette vérité.
Tout ce que nous faisons en tant que chrétiens dépend de cette histoire du bébé dans le mangeoire.
C’est une histoire familière ; si vous n’êtes pas chrétien, il y a de fortes chances que vous avez quand même une idée vague de ce qui se passe dans cette histoire : Dieu promet un Sauveur, le bébé Jésus est né dans une étable, des anges annoncent à des bergers la naissance de Jésus, alors ces bergers le rendent visite.
Mais dans la Bible, l’histoire de la naissance de Jésus est bien plus longue et complexe que ça—en fait, l’histoire de la naissance de Jésus n’est pas complète si on ne comprend pas pourquoi il est né.
My name is Jason, I’m one of the pastors of this church.
If you’re here for the first time today I’d like to say welcome, and take a minute to explain why we do what we do here.
Not just events like this, but everything.
Au début de la Bible, on voit Dieu créer l’humanité ; l’humanité se rebelle contre Dieu ; et par conséquence, l’humanité est séparée de Dieu.
Et à partir de ce moment-là, l’humanité essaie de retrouver le chemin qui mène vers Dieu.
Mais on n’est jamais capable de le faire, parce que le standard de Dieu pour être réconciliés à lui, c’est la perfection absolue, et aucun être humain n’est absolument parfait.
Everything we do as Christians comes down to this story of the baby in the manger.
It’s a familiar story; if you’re not a Christian, the chances are good that you have at least some idea of how the story goes.
Ça peut sembler dur, peut-être, comme si Dieu était bizarrement stricte en refusant tout ce qui n’est pas absolument parfait.
Mais ce n’est pas juste une question de ce qu’il peut accepter ; c’est une question de qui il est, de son caractère.
Un Dieu parfaitement juste ne peut pas accepter moins que la perfection morale—la justice et l’immoralité (ce que la Bible appelle le péché) agissent comme l’huile dans l’eau.
Alors l’humanité était bloquée, on dirait.
God creates humanity; humanity rebels against God; as a result, humanity is separated from God; and from that moment on, humanity tries to find their way back to him.
But humanity is never able to live according to God’s standard—because his standard is absolute perfection, and none of us is absolutely perfect.
This sounds harsh to some of us, as if God was just being inordinately nitpicky in refusing to accept less than perfection.
But it’s not about what he’s willing to accept, it’s about who he is, what his character is like.
A perfectly just God cannot accept anything less that perfect moral goodness—justice and sin (what the Bible calls this imperfection) cannot mix; they’re like oil and water.
we are never able to be as good as we need to be for God to be able to
Bien sûr, Dieu savait cela dès le départ ; il savait que tout allait se passer comme ça.
Et il a prévu la solution avant même d’avoir créé le monde.
God reveals himself to one particular group of people, the people of Israel, and gives them a set of laws to follow, and tells them that if they obey his laws, they will be his people, and he will be their God.
Il y a des échos de cela partout dans la Bible : même au tout début, dans Genèse chapitre 3, Dieu a promis qu’un jour un homme viendrait qui écraserait la tête du serpent, qui réglerait ce problème de notre séparation avec Dieu.
Dieu a promis un Roi, qui serait ce que son peuple ne pouvait pas être.
But they’re never able to do it.
Not a single person in the people of Israel manages to obey the law as they should.
The law should have been the way forward for them, the way out of their predicament, but it wasn’t, because they couldn’t live up to it.
So humanity, it seems, was stuck.
Of course, God knew this going in.
And he had planned for it before ever creating the world.
Et c’est cela qu’on oublie souvent à Noël
There are echoes of this all throughout the Bible: even from the very beginning, God promises that one day a man would be born who would crush the head of the serpent, who would fix this problem of man’s separation from God. God promised a king, who would be what his people could not be.
And at just the right time, God sent his king—but he did it in a very surprising way.
He didn’t send a full-grown warlord, ready to chop the heads off of enemy invaders.
When the promised Savior came, he came as a baby, who later grew into a man.
La naissance de Jésus est très humble, alors on a tendance à oublier qu’il s’agit de la naissance d’un Roi.
And that’s what a lot of people forget at Christmas.
C’est une célébration étrange pour la naissance d’un roi.
Dans 1 Timothée 6.14-15, Paul décrit Jésus—il l’appelle :
And that’s what a lot of people forget at Christmas.
notre Seigneur Jésus-Christ...le bienheureux et seul souverain, le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs...
Excerpt From: Société Biblique de Genève.
“Bible Segond 21 (pour Procopio Jason).”
Apple Books.
On voit cette image du bébé dans l’étable, avec Marie et Joseph, et quelques animaux, et des bergers et les rois mages.
C’est une célébration étrange pour la naissance d’un roi.
Mais c’était approprié, parce que Jésus est un Roi bien particulier.
Il n’a pas régné en punissant son peuple parce qu’ils n’arrivaient pas à vivre selon sa loi ; il a régné en obéissant parfaitement à la loi pour eux.
We see this picture of the baby in the manger, surrounded by Mary and Joseph, some animals, maybe some shepherds and wise men, and perhaps an angel or two.
It’s already a strange sort of celebration for the birth of a king.
Il n’a pas régné en obligeant ses sujets à le servir ; il a régné en les servant.
Il a régné en ayant compassion de ses ennemis.
Et sa compassion s’est manifestée jusqu’à l’extrême : il a régné en permettant à ses ennemis de le tuer…pour leur rébellion contre Dieu.
But it was fitting, because Jesus was a king of a very peculiar sort.
He didn’t reign by punishing his people for their failure to live according to the law; he reigned by perfectly obeying the law for them.
Il a accepté d’être séparé de Dieu le Père, lui, en prenant la rébellion de son peuple sur lui-même, et en se laissant punir pour cette rébellion sur la croix, afin que son peuple soit pardonné par Dieu et réconcilié avec lui.
He didn’t reign by obliging his subjects to fall to his every whim; he reigned by serving the people under him.
He reigned by having compassion on his enemies.
And his compassion was shown to a ridiculous extreme.
This king reigned by allowing his enemies to kill him...for their rebellion against God.
Et trois jours après, il est ressuscité d’entre les morts, et par sa résurrection, il a donné à son peuple la vie parfaite qu’il avait vécu.
He allowed himself to be separated from God the Father, by taking the rebellion of his people on himself, and being punished for it in their place on the cross, so that they wouldn’t have to be.
Autrement dit : ce que la justice parfaite de Dieu exigeait—l’obéissance parfaite à la loi—ce petit bébé a accompli pour nous.
And three days later, he was resurrected from the dead; and through his resurrection, gave his people the perfect, sinless life he had lived.
Nous ne sommes plus obligés de rester séparés de Dieu.
Puisque Jésus a travaillé pour nous, nous pouvons avoir accès à Dieu, et nous n’avons pas besoin de travailler pour accéder à lui.
Tout ce qu’il nous faut, c’est la foi en ce que Jésus a déjà fait pour nous.
C’est ce que la Bible dit, dans Jean 3.16 (ce verset célèbre) :
In other words, what God’s perfect and intractible justice required—perfect obedience to the law—this little baby accomplished for us.
People no longer need to be separated from God.
Because Jesus worked for us, now we have perfect access to God, and we don’t need to work to get to him.
All we need is faith in what Jesus already did for us.
That’s what the Bible says, in , that well-known verse:
Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son fils unique, afin que quiconque CROIT en lui ne périsse pas, mais ait la vie éternelle.
For God so loved the world that he gave his only son, that whoever BELIEVES in him may not perish, but have eternal life.
Pas “quiconque fait assez bien, ou travaille assez dur, ou comprend assez parfaitement.”
Quiconque croit.
And that’s where the difficulty lies for a lot of us, because this whole story just seems so unbelievable.
Believe me, I know—when I say things like I’ve been saying for the last five minutes, even I’m like, Are you hearing yourself right now?
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