Sermon Tone Analysis

Overall tone of the sermon

This automated analysis scores the text on the likely presence of emotional, language, and social tones. There are no right or wrong scores; this is just an indication of tones readers or listeners may pick up from the text.
A score of 0.5 or higher indicates the tone is likely present.
Emotion Tone
Anger
0.06UNLIKELY
Disgust
0.1UNLIKELY
Fear
0.1UNLIKELY
Joy
0.18UNLIKELY
Sadness
0.2UNLIKELY
Language Tone
Analytical
0.26UNLIKELY
Confident
0.16UNLIKELY
Tentative
0UNLIKELY
Social Tone
Openness
0.17UNLIKELY
Conscientiousness
0.13UNLIKELY
Extraversion
0.45UNLIKELY
Agreeableness
0.6LIKELY
Emotional Range
0.16UNLIKELY

Tone of specific sentences

Tones
Emotion
Anger
Disgust
Fear
Joy
Sadness
Language
Analytical
Confident
Tentative
Social Tendencies
Openness
Conscientiousness
Extraversion
Agreeableness
Emotional Range
Anger
< .5
.5 - .6
.6 - .7
.7 - .8
.8 - .9
> .9
Anticiper
(2 Pierre 3.8-13)
Ce mois-ci nous examinons ce que c’est que de faire partie de la famille de Dieu, alors qu’on célèbre la naissance de Jésus.
Nous avons vu ce que c’est que d’appartenir à la famille de Dieu, de vivre comme la famille, de se multiplier en tant que famille, et la semaine dernière, nous sommes enfin arrivés à la naissance de Jésus—sa naissance, sa vie, sa mort et sa résurrection—à ce que ça veut dire de chérir Christ en tant que famille.
Alors qu’est-ce qu’il nous reste à faire ?
Et bien, ça tombe bien qu’il reste encore un dimanche dans le mois de décembre—cela nous donne l’occasion de regarder vers l’avant, d’anticiper ce qui se passe ensuite.
Et alors que nous anticipons ce qui arrivera, ma prière est que cela nous prépare bien à l’année à venir.
Car vivre en anticipation du retour de Christ est ce qui caractérise la vie chrétienne—ce n’est pas simplement une question d’amour, ou de ce que Jésus nous donne aujourd’hui.
C’est une question de ce qui se passera demain.
:
1 Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre, car le premier ciel et la première terre avaient disparu et la mer n’existait plus.
2Je vis descendre du ciel, d’auprès de Dieu, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, préparée comme une mariée qui s’est faite belle pour son époux.
3J’entendis une voix forte venant du ciel qui disait: «Voici le tabernacle de Dieu parmi les hommes!
Il habitera avec eux, ils seront son peuple et Dieu lui-même sera avec eux, [il sera leur Dieu].
4Il essuiera toute larme de leurs yeux, la mort ne sera plus et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car ce qui existait avant a disparu.»
C’est ça qui arrive demain—ce n’est qu’un petit aperçu de ce qui nous attend.
Mais c’est un aperçu remarquablement complet.
Un nouveau ciel et une nouvelle terre—le renouvellement de toutes choses.
La présence éternelle de Dieu—Dieu qui habite parmi son peuple comme leur Dieu.
La vie et la joie éternelles—plus de deuil, plus de douleur, plus de mort.
Tout ce que nous espérons qui compte vraiment trouve son accomplissement dans cette image.
C’est ce que nous attendons.
Jésus a promis qu’un jour il reviendrait pour renouveler la terre, pour établir les nouveaux cieux et la nouvelle terre, et pour amener tous ceux qui ont la foi en lui pour y vivre avec lui pour toute l’éternité.
Je pourrais continuer pendant des heures—on pourrait faire toute une série de messages sur ce passage.
Mais aujourd’hui nous voulons nous poser une question pressante : quelle différence cela fait-il ?
Vraiment, ça fait quoi de savoir que nous allons quelque part si nous sommes ici maintenant ?
Qu’est-ce que ça fait de savoir que nous serons avec Jésus un jour dans les nouveaux cieux et la nouvelle terre ?
Est-ce que savoir où nous allons change vraiment quelque chose dans notre vie aujourd’hui ?
Bien sûr, la réponse n’est pas que ça change quelque chose : ça change tout.
Nous n’avons pas le temps aujourd’hui pour voir la multitude de raisons pour lesquelles c’est vrai—toutes les choses qui changent quand nous comprenons où nous allons—alors aujourd’hui j’aimerais simplement conclure cette série en voyant quelques unes.
On les voit dans 2 Pierre 3.8-13.
Anticiper le retour de Christ comme un corps veut dire quatre choses :
• une plus grande motivation pour l’évangélisation ;
• une plus grande conscience de ce qui est temporaire ;
• un plus grand désir pour la sainteté ;
• une plus grande soif du paradis.
Motivation pour l’évangélisation
8Mais s’il y a une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas oublier, c’est qu’aux yeux du Seigneur un jour est comme 1000 ans et 1000 ans sont comme un jour.
9Le Seigneur ne tarde pas dans l’accomplissement de la promesse, comme certains le pensent; au contraire, il fait preuve de patience envers nous, voulant qu’aucun ne périsse mais que tous parviennent à la repentance.
Il y a une expression dans le sud des U.S. qu’on dit quand quelqu’un bouge trop lentement : « Bon sang, tu es plus lent que le retour du Christ !
»
Jésus a promis qu’il reviendrait—dans l’avant-dernier verset de la Bible, on voit Jésus dire : « Oui, je viens bientôt » (Ap.
22.20).
« Bientôt » ?
On dirait pas parfois, n’est-ce pas ?
On dirait qu’il prend bien son temps.
Jean a écrit l’Apocalypse vers la fin du premier siècle après Jésus-Christ.
Alors ça fait plus ou moins 1.900 ans depuis que Jésus a dit : « Oui, je viens bientôt.
»
C’est pourquoi Pierre prend le temps de nous dire qu’aux yeux du Seigneur un jour est comme 1000 ans et 1000 ans sont comme un jour.
Je vais faire une parenthèse pendant un instant, parce que je sais ce que certains d’entre vous sont en train de vous dire.
Certaines personnes se servent de ce verset pour suggérer que Dieu est « en dehors du temps, » qu’il est simultanément dans le passé et dans le présent—et ils utilisent cette idée pour défendre ou pour réfuter toutes sortes de doctrines (pour réfuter, par exemple, la doctrine de l’élection).
Alors peut-être que c’est vrai—peut-être que Dieu est en dehors du temps.
Mais c’est purement de la spéculation—il n’y a rien dans la Bible qui affirme clairement que Dieu est « en dehors du temps.
» Ce que Pierre dit ici, c’est qu’aux yeux du Seigneur un jour est COMME 1000 ans et 1000 ans sont COMME un jour.
Disons que tu pars en vacances avec les enfants : tu te mets dans la voiture, et tu as un trajet de cinq heures.
Un trajet de cinq heures est relativement facile pour les adultes.
Mais si vous avez des petits enfants, vous savez que pour eux, c’est comme une éternité.
Pourquoi ça paraît si long pour eux, et pas si long pour nous ?
Parce que nous sommes des adultes, et on s’est habitués à attendre.
Dieu est éternel.
Si vous aviez vécu depuis toute l’éternité, qu’est-ce que ça vous fera, mille ans ?
Pas si long que ça.
Voici ce que Pierre dit.
Il sait que le retour de Jésus ne semblera pas venir vite.
Ça va être long pour nous, parce que nous sommes humains.
Mais tout ce temps—ces presque deux mille ans jusqu’à maintenant—du point de vue de l’éternité, est un clin d’œil.
Comme dit Pierre : Le Seigneur ne tarde pas dans l’accomplissement de la promesse.
Ça paraît long, mais ce n’est pas long.
Dieu attend, parce qu’il fait preuve de patience envers nous.
Il aurait pu revenir quand il voulait.
Mais il attend.
Alors pourquoi il attend ?
V. 9 encore :
Le Seigneur ne tarde pas dans l’accomplissement de la promesse, comme certains le pensent; au contraire, il fait preuve de patience envers nous, voulant qu’aucun ne périsse mais que tous parviennent à la repentance.
Dieu attend parce qu’il laisse la place à la repentance.
Il attend afin que plus de personnes puissent se tourner vers lui.
Les gens ont cette idée que le Dieu de la Bible est dur et injuste, prêt à sauter sur le plus petit péché et punir la moindre indiscrétion.
C’est vrai que Dieu est un Dieu saint, et ne peut pas excuser le péché ou faire comme si la rébellion contre sa gloire n’est pas digne d’être punie.
Mais dur ?
Injuste ?
Certainement pas.
Dieu a déjà envoyé Jésus pour vivre notre vie et subir notre mort, à notre place, afin que nous vivions.
Et si cela ne suffisait pas, il nous montre une patience que nous ne pouvons pas comprendre—une patience qui a déjà attendu des milliers d’années, et qui attendra encore lui seul sait combien de plus—afin que plus de monde puisse venir à Christ, et le connaître, et l’aimer, et être sauvés.
Alors la question, c’est si Dieu attend de renvoyer Jésus afin que plus puissent être sauvés, et si nous le savons, qu’est-ce que cette connaissance devrait produire en nous ?
Le désir qui motive la patience de Dieu devrait être notre désir aussi.
Si nous savons que Dieu attend d’accomplir sa promesse afin que les gens soient sauvés, alors nous ressentirons d’autant plus fortement le désir d’accomplir notre mission.
Christ nous a donné la mission d’aller dans toute les nations faire des disciples, et il nous a donné le temps pour l’accomplir.
Anticiper le retour de Christ, en tant que corps, veut dire d’abord avoir une plus grande motivation pour cette mission—de partager l’évangile, de parler de Jésus aux autres, de prier pour le salut de nos amis et nos voisins et nos familles, de voir de plus en plus de monde connaître Jésus et l’aimer et lui ressembler.
Une plus grande conscience du temporaire
10 Le jour du Seigneur viendra comme un voleur [dans la nuit].
Ce jour-là, le ciel disparaîtra avec fracas, les éléments embrasés se désagrégeront et la terre avec les œuvres qu’elle contient sera brûlée.
Lorsque Pierre parle du ciel qui « disparaît, » de la terre et ses œuvre qui sont « brûlées », il ne dit pas que la terre sera entièrement détruite.
Il veut plutôt dire que beaucoup de ce qui se passe sur cette terre ne restera pas.
Pas tout—on voit que Jésus a été ressuscité dans son corps physique, qui a été changé mais qui était visiblement lui-même, et il est monté au ciel dans son corps.
Romains 8.21 parle de la terre qui attend d’être libérée de l’esclavage de la corruption pour prendre part à la glorieuse liberté des enfants de Dieu.
Alors certaines choses resteront.
Mais beaucoup de ce qui se passe sur cette terre sera brûlé—disparaîtra—laissera la place à quelque chose d’entièrement nouveau et pur.
Vivre en anticipation du retour de Christ veut dire qu’en tant que corps, nous devenons de plus en plus conscients de quelles choses sont temporaires et quelles choses sont éternelles, et nous adapterons nos priorités, nos amours et nos aspirations en fonction de ces choses.
Laissez-moi vous donner quelques exemples.
Je sais que certains d’entre vous étiez probablement dérangés par mon insistance il y a quelques semaines d’être présents quand l’église se rassemble—certains ont peut-être pensé que j’étais un peu trop extrême.
Mais je vous invite à considérer ce qu’on voit dans , qui nous donne une image de l’état des choses après que Jésus reviendra et renouvellera la terre :
Il n’y aura plus de malédiction.
Le trône de Dieu et de l’Agneau sera dans la ville; ses serviteurs lui rendront un culte.
< .5
.5 - .6
.6 - .7
.7 - .8
.8 - .9
> .9