Sermon Tone Analysis

Overall tone of the sermon

This automated analysis scores the text on the likely presence of emotional, language, and social tones. There are no right or wrong scores; this is just an indication of tones readers or listeners may pick up from the text.
A score of 0.5 or higher indicates the tone is likely present.
Emotion Tone
Anger
0.09UNLIKELY
Disgust
0.1UNLIKELY
Fear
0.12UNLIKELY
Joy
0.46UNLIKELY
Sadness
0.17UNLIKELY
Language Tone
Analytical
0.27UNLIKELY
Confident
0.12UNLIKELY
Tentative
0UNLIKELY
Social Tone
Openness
0.15UNLIKELY
Conscientiousness
0.13UNLIKELY
Extraversion
0.45UNLIKELY
Agreeableness
0.6LIKELY
Emotional Range
0.14UNLIKELY

Tone of specific sentences

Tones
Emotion
Anger
Disgust
Fear
Joy
Sadness
Language
Analytical
Confident
Tentative
Social Tendencies
Openness
Conscientiousness
Extraversion
Agreeableness
Emotional Range
Anger
< .5
.5 - .6
.6 - .7
.7 - .8
.8 - .9
> .9
Une des grandes formations de l’histoire du football américain s’appelle les Packers de Green Bay.
Ils avaient un entraîneur légendaire du nom de Vince Lombardi.
Aujourd’hui, le trophée remis à l’équipe championne dans la NFL s’appelle le trophée Vince Lombardi.
Lorsque l’équipe s’assemblait avant la saison pour leur camp d’entraînement, l’entraÎneur Lombardi commençait en allant droit au but.
Il se plaçait devant son équipe pour leur dire, “Messieurs, ceci est un ballon de football.”
Même s’il s’adressait à des professionnels, il recommençait avec la base à chaque année.
Parfois on se préoccupe de grandes choses, mais on laisse filer les choses de bases qui sont vraiment importantes.
Dans notre poursuite de ce qui semble avancé ou important à nos yeux, nous laissons aller les choses qui nous ont amenées au point où nous en sommes.
L’an dernier, les journaux montréalais ont mis une très triste histoire en manchette.
Une joueuse de tennis montréalaise, connue mondialement, a défrayé la manchette.
Sa mère voyage beaucoup avec elle autour du monde, pour des tournois ou autre.
Mais leur gigantesque maison à Westmount, quartier très huppé de Montréal, était laissée à elle-même.
Les rats et la vermine s’étaient installés.
L’insalubrité était irréversible.
Cette énorme maison de gens riches allaient devoir être démolie tellement c’était sale et laissé aller.
Pendant ce temps, la propriétaire, la maman de la joueuse de tennis, demeurait des des hôtels 5 étoiles sur tous les continents, mais sa maison était en ruines.
De la même façon, nous pouvons parfois laisser aller la base pour s’occuper à ce qui semble plus noble.
Nous pouvons laisser les choses essentielles pour nous consacrer aux choses secondaires.
Ce n’est jamais bien.
À l’époque de Jésus, un groupe en particulier était connu pour leur passion envers les détails avancés de la loi de Dieu.
Ils mettaient des piquets le long des routes pour dire aux juifs, “Vous ne pouvez pas dépasser cette ligne le jour du sabbat, le samedi.”
Ils se souciaient des épices dans la cuisine, s’assurant d’en donner la dîme.
Leur habillement était soigné et choisi pour bien paraître devant les hommes.
Mais en même temps, ils refusaient souvent d’aider leurs parents dans le besoin.
Ils priaient des prières très éloquentes; mais ils ne le faisaient que pour l’apparence; leurs prières privées n’avaient rien en commun avec leurs prières publiques.
Ces pharisiens critiquaient leurs ancêtres parce qu’ils avaient persécuté, et même parfois tué, les prophètes comme Jérémie, par exemple.
Ils allaient aux tombeaux de ces prophètes pour les décorer, comme pour se distancer des actes de leurs ancêtres.
Mais en même temps, ils se préparaient à mettre à mort Jésus, le Sauveur du monde.
Les rabbins juifs avaient subdivisé la loi en 613 commandements.
248 de ces commandements étaient “affirmatifs”: des choses qu’on doit faire.
365 de ces commandements étaient “négatifs”: des choses qu’on ne doit pas faire.
Selon le commentateur biblique John Phillips, les rabbins avaient des débats qui duraient des années, où plusieurs points de vue étaient exprimés sur un commandement comme, “Tu ne feras point cuire un chevreau dans le lait de sa mère.”
(Exode 23:19)
Tu ne feras point cuire un chevreau dans le lait de sa mère.
Ces gens étaient pris dans les engrenages les plus complexes de leur religion.
Mais ils avaient perdu de vue que leur responsabilité première était d’aimer Dieu, et de l’aimer de toute leur personne!
Tu ne feras point cuire un chevreau dans le lait de sa mère.
Nouvelle Édition de Genève.
Romanel-sur-Lausanne: Société Biblique de Genève, 1979.
Print.
C’est dangereux de se perdre de vue les choses de base de la foi.
C’est alors qu’on perd notre identité de chrétien.
C’est là que le nom du Seigneur Jésus en prend un coup.
C’est là que le monde trouve du mal à dire des enfants de Dieu.
J’ai bien peur que nous avons un problème, aujourd’hui.
C’est un problème qui est généralisé parmi les disciples de Christ, parmi les enfants de Dieu.
Mais nous ne sommes pas venus ce matin pour parler du chrétien moderne typique.
Nous sommes venus pour regarder la Bible et nous évaluer vous-mêmes.
Ce matin, pour les prochaines minutes; il n’y a que deux personnes dans la salle.
Jésus-Christ et vous-même.
La question: Est-ce que vous aimez Dieu de tout votre être, oui ou non?
Peut-être êtes-vous bien habillé?
C’est bien mais c’est un détail.
Peut-être êtes-vous un expert en prophétie?
C’est bon, mais ce n’est pas la priorité première.
Peut-être êtes-vous très doué dans l’oeuvre du Seigneur?
Peut-être, mais ce n’est pas ce que Dieu regarde.
Examinons LE commandement que Jésus lui-même a identifié comme étant LE commandement que nous devons observer, garder aujourd’hui.
I. Centrer son coeur sur Dieu.
Jésus veut que 100% de notre coeur soit occupé à aimer Dieu.
Il veut que notre personne toute entière ait une grande passion…: Dieu.
Il veut que nous soyons des passionnés de Dieu.
Le coeur est un mot au sens assez large dans la Bible.
En fait les autres éléments du commandement résument assez bien ce qu’est le coeur.
Le coeur est le centre de direction de notre vie.
C’est là qu’habitent nos passions, nos désirs, nos méditations, nos affections.
Sans vouloir s’embourber dans le dictionnaire, pour ceux qui voudraient étudier davantage, voici ce qu’est le coeur selon des dictionnaires bibliques:
Les concepts modernes de caractère, personnalité, volonté et esprit en reflètent tous quelque chose.
L’usage du mot dans le NT est similaire ; là, le cœur est le siège de la volonté (Mr 3.5), de la pensée (Mr 2.6) et des sentiments (Lc 24.32).
C’est donc dans le NT le terme le plus proche du mot « personne » mais « esprit » est le terme moderne qui se rapproche le plus de l’usage biblique général du mot « cœur ».
Ryder-Smith suggère que le grand commandement (Mr 12.30) signifie probablement : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur — c’est-à-dire de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ta force ».
À l’exception près de quelques allusions à l’organe physique (par exemple 1S 25.37), le mot cœur désigne l’homme intérieur dans un sens large.
La pensée hébraïque concevait l’homme comme un tout avec la somme de ses attributs physiques, intellectuels et psychologiques ; elle plaçait le cœur au centre de contrôle de tout cela.
Ainsi, les termes modernes de caractère, personnalité, volonté, pensée, émotions captent quelque chose de la signification profonde de cœur dans son utilisation vétéro-testamentaire.
Le commandement de Deutéronome 6:5 et 10:12 était d’aimer Dieu de tout son coeur.
Dans divers endroits cela est développé en disant d’aimer Dieu de son âme, de sa pensée et de sa force.
Le grand commandement commence avec un plan large, puis on fait un “zoom” pour regarder plus précisément ce que ça veut dire d’aimer Dieu de tout son coeur.
Nous portons notre coeur dans plusieurs directions.
Nous cherchons à aimer notre métier ou notre carrière.
Nous cherchons à aimer l’école.
Nous cherchons des activités qui nous plaisent.
Nous cherchons la richesse.
Nous aimons notre famille.
Pourtant, toutes ces choses nous ont été données par Dieu et pour Dieu et ce n’est que lorsque notre coeur est porté vers lui que nous pouvons refléter l’amour de Dieu dans ces directions.
Anne Graham Lotz recounted a conversation with her father, Billy Graham, on the subject of aging.
“All my life, I’ve been taught how to die,” Billy told her, “but no one ever taught me how to grow old.”
She replied, “Well, Daddy, you are now teaching all of us.”
Lotz said she has already learned from her father: “When you get older, secondary things, like politics, begin to fall away, and the primary things become primary again.
For Daddy, the primary thing is, as Jesus said, to try to love God totally and to love our neighbor as ourselves.”
La vie et le temps auront soin de vous montrer que rien d’autre n’est durable ni important.
Seulement d’aimer Dieu et d’aimer son prochain comme soi-même.
Toutes les autres poursuites sont vaines et nous laisserons déçus!
II.
Diriger ses émotions vers Dieu.
Jésus ouvre la bouche pour répondre au pharisien.
Il ne choisit pas un des Dix Commandements.
Il ne choisit pas un commandement négatif “Tu ne feras point cela”.
Plutôt que de prendre un commandement qui dit de ne pas faire quelque chose que nous avons fait, il choisit un commandement positif, un commandement qui dit de faire quelque chose, mais que nous n’avons pas fait.
En fait, Jésus ramène les juifs vers leur confession, qu’ils répétaient sans cesse, chaque jour pour plusieurs.
Deutéronome 6:4-5
< .5
.5 - .6
.6 - .7
.7 - .8
.8 - .9
> .9