Sermon Tone Analysis

Overall tone of the sermon

This automated analysis scores the text on the likely presence of emotional, language, and social tones. There are no right or wrong scores; this is just an indication of tones readers or listeners may pick up from the text.
A score of 0.5 or higher indicates the tone is likely present.
Emotion Tone
Anger
0.12UNLIKELY
Disgust
0.11UNLIKELY
Fear
0.1UNLIKELY
Joy
0.58LIKELY
Sadness
0.59LIKELY
Language Tone
Analytical
0.25UNLIKELY
Confident
0UNLIKELY
Tentative
0UNLIKELY
Social Tone
Openness
0.16UNLIKELY
Conscientiousness
0.14UNLIKELY
Extraversion
0.48UNLIKELY
Agreeableness
0.6LIKELY
Emotional Range
0.11UNLIKELY

Tone of specific sentences

Tones
Emotion
Anger
Disgust
Fear
Joy
Sadness
Language
Analytical
Confident
Tentative
Social Tendencies
Openness
Conscientiousness
Extraversion
Agreeableness
Emotional Range
Anger
< .5
.5 - .6
.6 - .7
.7 - .8
.8 - .9
> .9
Eighty-six percent of mothers think they don’t get enough respect, and 80 percent agree that moms who stay home get even less.
Even so, 77 percent of mothers who work full-time would rather stay home if they could.
That’s according to a poll by Family Circle magazine.
Moms in both camps are defensive: 73 percent of those at home think working moms look down on them, while 66 percent of those who work feel the same way about moms who are at home.
The upside of the research is that while 70 percent of mothers say that being a mom is more demanding than they expected, 92 percent say it is also more rewarding.
—Melissa August and others, “Mother’s Day,” Time (May 6, 2002)
I. Une femme supérieure v. 29
Anna Maria Reeves-Jarvis of Grafton, West Virginia, organized a club of women to nurse wounded soldiers from the North and South during the Civil War.
After the war, Reeves-Jarvis started “Mothers’ Friendship Days” to reconcile families that had been divided by the conflict.
Throughout her life, Reeves-Jarvis modeled the ideals of Victorian motherhood.
She gave up her dreams of college to care for an older husband and four children.
She bore the loss of seven other children with grace.
She taught Sunday school in the local Methodist church for twenty years and stayed active in benevolent work.
Her death in 1905 devastated her daughter Anna.
She honored her mother’s memory by initiating a holiday honoring all mothers.
Mother’s Day was first celebrated in 1908 in Grafton (where Anna grew up) and Philadelphia (where she lived as an adult).
Later, in a resolution passed May 8, 1914, the U.S. Congress officially established the second Sunday in May as Mother’s Day.
—Elesha Coffman, “Mom, We Salute You,” Christian History Newsletter (May 10, 2002)
Larson, Craig Brian, and Phyllis Ten Elshof.
1001 Illustrations That Connect.
Grand Rapids, MI: Zondervan Publishing House, 2008.
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My three young children love to get up early and watch the garbage truck.
They love watching the waste hauler empty the can and work the lever that causes the truck to compact the trash.
My three young children love to get up early and watch the garbage truck.
They love watching the waste hauler empty the can and work the lever that causes the truck to compact the trash.
My three young children love to get up early and watch the garbage truck.
They love watching the waste hauler empty the can and work the lever that causes the truck to compact the trash.
On the morning I turned thirty-five, my husband said to the children with a smile, “Kids, do you know what makes today so special?”
On the morning I turned thirty-five, my husband said to the children with a smile, “Kids, do you know what makes today so special?”
On the morning I turned thirty-five, my husband said to the children with a smile, “Kids, do you know what makes today so special?”
Our five-year-old rushed past my outstretched arms to the window and yelled, “It’s garbage day!”
Our five-year-old rushed past my outstretched arms to the window and yelled, “It’s garbage day!”
Our five-year-old rushed past my outstretched arms to the window and yelled, “It’s garbage day!”
—Sheri B., Portage, Michigan, “Life in Our House,” Christian Parenting Today (March–April 2000)
—Sheri B., Portage, Michigan, “Life in Our House,” Christian Parenting Today (March–April 2000)
—Sheri B., Portage, Michigan, “Life in Our House,” Christian Parenting Today (March–April 2000)
Larson, Craig Brian, and Phyllis Ten Elshof.
1001 Illustrations That Connect.
Grand Rapids, MI: Zondervan Publishing House, 2008.
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Larson, Craig Brian, and Phyllis Ten Elshof.
1001 Illustrations That Connect.
Grand Rapids, MI: Zondervan Publishing House, 2008.
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Grand Rapids, MI: Zondervan Publishing House, 2008.
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Ce chapitre des Proverbes peut être un passage difficile ou encore encourageant, selon la perspective!
Une femme pourrait le lire et se dire, c’est difficile de se comparer à la femme qui est décrite dans ces versets!
Elle semble tout faire, et tout faire bien; comment atteindre ce niveau!
Mais, lorsque Dieu nous donne un modèle à suivre, ou un idéal à imiter, c’est parce qu’il nous donne aussi la force ou la capacité de le faire.
La femme de Proverbes 31, c’est une image de ce que Dieu peut produire dans la vie d’une femme qui est dévouée à lui.
C’est Dieu qui produit toutes ces qualités chez elle; ce n’est pas sa propre force à elle.
Ce passage nous montre aussi la force et la puissance de la femme qui investit sa vie pour le Seigneur.
Les anglophones ont une expression qui dit, “La main qui berce le berceau dirige le monde.”
Il y a des éléments de vérité dans ces dictions.
Et Proverbes 31 le détaille, sous l’inspiration du Saint-Esprit.
La femme décrite ici n’est pas faible, mais elle est influente, respectée, digne et elle laisse sa marque dans ce monde.
I. Une femme supérieure v. 29
À première vue, on peut se dire, mais qui est cette femme qui surpasse toutes les autres?
Est-ce que cette femme dont le roi Lemuel parlait était incomparable, et personne ne pouvait atteindre son niveau?
Je crois plutôt que le Saint-Esprit nous montre, messieurs, comment nous devrions percevoir nos épouses et comment nous devrions leur parler, et aussi comment nous devrions parler d’elles.
Dans l’esprit de Lemuel, toutes comparaisons avaient été arrêtées.
Il ne regardait pas les autres femmes pour comparer, je crois que pour lui le dossier était clos.
Cette femme vertueuse qui semble être son épouse les surpassait toutes, point final.
La Bible dit clairement aux hommes comment ils doivent traiter leur épouses.
Le standard dans Ephésiens 5, c’est de traiter son épouse, comme Christ traite l’Église.
C’est un standard extrêmement élevé, vous en conviendrez!
La Bible nous dit aussi de les “laver par l’eau de la parole”…c’est à dire d’utiliser la Parole de Dieu pour les aider dans leur sanctification.
Tout mari a un ministère de la Parole.
Ephésiens 5:25-26
Maris, que chacun aime sa femme, comme Christ a aimé l’Eglise, et s’est livré lui-même pour elle, 26afin de la sanctifier en la purifiant et en la lavant par l’eau de la parole,
Mais la Bible ne dit pas seulement cela.
Dans Proverbes 31, nous voyons que nous devons aussi les encourager et les bâtir par nos paroles.
Lemuel dit, “Mais toi, tu les surpasses toutes.”
Il lui dit, à elle.
Il ne fait pas que parler d’elle, oui il le fait, mais il lui parle à elle.
Il ne lui parle pas pour lui dire ses défauts; à ses yeux elle a plus de qualités que toutes les autres.
Il lui parle pour lui dire à quel point elle surpasse toutes les autres femmes pour lui.
Messieurs, ne négligeons pas notre ministère verbal envers nos épouses!
Oui, l’instruction de la parole, mais aussi “le ministère du compliment”.
Le ministère de la louange envers elle.
II.
Une femme spirituelle v. 30
Deux choses dans ce verset sont mentionnées comme étant vaines.
Malheureusement, c’est un peu ce que le monde aujourd’hui projète comme idéal pour les femmes.
Il faut se rappeler que l’ennemi désire détruire.
Il veut détruire les hommes et aussi les femmes.
En fait il a commencé par Ève, si on note bien!
La femme fut la première cible de Satan.
Je ne veux pas exagérer le parallèle entre la tentation d’Éve dans Genèse 3 et ce que le monde projette comme idéal pour la femme aujourd’hui…mais Satan a dit à Ève qu’elle pourrait améliorer sa vie si elle se transformait.
Il a dit à Ève, “Si tu fais ceci, ta vie changer pour le mieux.”
Évidemment, il mentait.
Mesdames, la prochaine fois que le monde vous lance un message sur votre apparence physique, sur votre apparence vestimentaire…et qu’il veut élever ces choses comme étant l’essentiel, citez Proverbes 31:30!
Les femmes qui ont marqué l’histoire ne l’ont jamais fait à cause de leur apparence physique.
Les femmes qui ont transformé la vie des gens autour d’elles ne l’ont jamais fait par leur beauté.
Ce qui distingue une femme, ce n’est pas son corps.
Ce qui distingue une femme ne peut être vu à l’oeil.
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